Longtemps reconnu comme pays de paix et de stabilité, le Burkina Faso est depuis 2014 victime d’actes de violences de toutes sortes. Afin de maîtriser le problème, le Burkina Faso s’est inscrit, comme préconisé par l’ONU dans l’approche dite de prévention qui se fonde sur la thèse selon laquelle la violence ne vient pas du néant, mais a des origines plausibles à identifier (Pauvreté, oppression, sentiments d’abandon, etc.).
Pourtant, sur cette problématique, il ressort des analyses actuelles que de nombreuses questions exigent encore des réponses plus claires : dans quelle mesure et à quel degré l’offre d’opportunités économiques impacte-t-elle la résilience à l’extrémisme violent des jeunes et quel est le niveau d’adéquation de cette offre par rapport à la demande des jeunes ? Quelles sont les options et recommandations stratégiques permettant d’améliorer l’efficacité des programmes économiques de type PEV en termes de consolidation de la résilience des jeunes à l’extrémisme violent ?
Ce compte tweeter est créé pour partager et discussion des résultats de ce projet qui dure 30 mois et financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI-Canada).